Sur ce sujet, fort intèrréssant, tous les points de vue sont à prendre en compte.
Pour ma part voici ma vision des choses.
Il y deux grandes catégories d’aquariophiles.
Il y a 80% d’aquariophiles, les bons clients des animaleries, qui ont un
Aquarium, comme on possède un tableau vivant, et qui s’y intérresse
de temps en temps, juste pendant le nourrissage, tout le coté
technique les ennuis souvent, et quant à savoir les noms de
leurs poissons en latin, là c’est bien trop difficile à retenir.
Cette aquariophilie là, c’est celle du bisness, j’en veux pour preuve les
nouveaux bacs extras plats que l’on accroche au mur. La mode
s’immisce partout.
1)Pour cette population d’aquariophile, il y assez peu de prélèvement
dans la nature, puisque la plupart des espèces d’eau douce sont
facilement élevée en captivité.
La Thailande, et d’autres pays asiatiques, se sont spécialisés dans
cette activité depuis longtemps, c’est culturel chez eux.
Puis les pays de l’Europe de l’est, dont la Techquie ont suivie depuis les
années 90.
On peut dire là aussi à peu prés 80à 90% des espèces couramment
vendues en commerce.
Pour les 10 à 20% d’espèces restantes comme par exemple le
cardinalis, qu’il est plus facile de pêcher, que de reproduire.
Cela peu paraître encore énorme, au niveau quantitatif, mais par
rapport à la pêche industrielle cela ne représente qu’un faible
pourcentage.
En écoutant raconter les personnes qui vont sur place (principalement
amérique du sud et centrale) ou en lisant leurs articles, on se rend
compte que déjà la pêche des autochtones, est loin d’être intensive vu
leurs moyens, et ensuite elle ne se pratique pas toute l’année car en
saison des pluies le niveau des fleuves est bien trop haut, et l’eau trop
turbide, pour pouvoir prélevé quoi que se soit.
Le stock vivant, est aussi assez énorme, difficile de se rendre compte,
lorsque qu’on ne le voit qu’à travers son petit écran !
Ensuite ces pauvres gens là ont besoin de ce complément économique
pour survivre, ils sont pour la plupart exploiter, et ne font payé qu’en
nature (riz, sucre, et aussi essence pour les moteurs de bateau).
Ce qui fait beaucoup plus de mal aux espèces sauvages, est
certainement la pollution des orpailleurs, qui utilise en abondance le
mercure, qui ensuite se déverse dans l’eau.
Et aussi la déforestation, qui prive les espèces de leur biotope.
2)La deuxième population d’aquariophile, je vais les appeler les
aquariophiles avertis.
Dans cette tranche il y a beaucoup de personnes qui pratiquent le
marin.
Je trouve que dans cette spécialité, les personnes ont des degrés plus
élevés de connaissance, vu le prix plus important des poissons( ils y
font plus attention) et du matériel et aussi du coté plus confidentiel, du
moins en France.
Donc moins de gaspillage, une maintenance plus rigoureuse.
Pour ce qui est de la pêche purement aquariophile, des pratiques, très
destructrices comme la pêche à la dynamite soit en voie de disparition
heureusement, la mode de l’écologie a réveiller les esprits des
politiques, de la planètes, soit il reste encore du boulot.
Aux Etats-Unis des récifs artificiels ont même été créer pour recolonisé
les milieux.
Et ainsi ne sont pêcher que les reproductions du dit récif, c’est une
pêche contrôlée.
En méditerranée, des élevages sous serres font grossir jusqu'à taille
vendable les larves d’au moins vingt espèces
Ces larves auraient de toute façon été mangées par des prédateurs.
Je reviens à l’eau douce, avec par exemple les cichlidés.
Sur les rives des lacs Malawi et Tanganyika, il a des pêcheries, 2 ou 3
par lacs, autorisées par les gouvernements des pays du pourtour de
ces lacs( grands comme des mers)
Ces pêcheries emploies des personnels du crût, qui connaissent les
fonds, et les endroits, ou trouver l’espèce commandée par le client.
Ensuite, il faut savoir, que les poissons pris dans les lacs sont reproduit
dans des grands bassins en béton, et que ce sont les reproductions qui
sont exportés la plupart du temps. Donc ce que nous achetons est du
F1, et très exeptionellement du sauvage.
Pour l’Amérique du sud, la filière passe quasiment toujours par Manaus,
ou des grossistes achètes aux petits pêcheurs et revendent aux
exportateurs.
Le cichlides étant assez prolifique en aquarium, la demande en sauvage
est relativement restreinte, et seul des aquariophiles confirmés
connaissent les filières d’approvisionnement.
Quant aux voyageurs aquariophiles, se sont de véritables passionnés,
et souvent ne ramènent, que quelque vingt ou trente alevins, jamais
d’adultes, car trop difficile, a acclimater.
En conclusion, je suis pour la pêche, en milieux naturel, à condition
quelle soit contrôlée, et que les « sauvages » soient acquis par des
personnes expérimentées, afin qu’elles puissent diffuser la souche.
J’irai même plus loin en disant que le « sauvage » doit rester
suffisamment cher pour faire aussi une sélection de l’aquariophile vers
le haut.