Bonjour a tous et a chacun
Un amical salut a ceux qui me connaissent deja
Sinon un petit rappel pour les nouveaux a qui je souhaite la bienvenue
A une epoque assez reculee je fus membre du cercle aquariophile jurassien.
Je me consacrais essentiellement a la realisation de bacs plantes et a la reproduction de differentes especes suivant l'humeur et les envies.
J'eus quelques succes avec les scalaires, les apistogrammas nijsseni, les celestichtys margaritatus, les nannostomus morthentaleri, les monocirrhus polyacanthus, sans parler des guppies ou des brachydanios rerios.
Durant quelques temps je fus en charge du rayon aquariophilie de Zoo Boutic a Montmorot.
Mais il devenait lassant d'essayer d'inculquer les bases d'une maintenance correcte a des beotiens qui se contentaient de venir chaque semaine racheter les poissons qui mouraient faute de soins corrects.
Lorsque se presenta l'occasion de faire un voyage en Amazonie, plus precisement au Bresil, sur le rio Negro, je n'hesitais pas un instant. C'est ainsi que j'ai attrape le virus.
Je n'eus de cesse de revenir decouvrir la magie de ce fleuve et de son univers en compagnie de notre regrette ami Thierry sans l'appui duquel je n'aurais sans doute pas pu venir une premiere fois au Perou.
A l'issue de mon troisieme voyage a Iquitos, je decidai d'y rester pour prendre en charge les destinees d'un bateau en bois dont le but etait d'emmener des passagers a la decouverte de l'Amazone et des gens qui peuplent ses berges.
C'est au cours de l'une des ces sorties que je fis la connaissance de mon ami Wilder avec qui nous eumes tout de suite des affinites lorsqu'il me conta qu'il lui arrivait de pecher des poissons ornementaux pour les exportateurs d'Iquitos.
Je consacrais presque trois ans a m'occuper du bateau et silloner l'Amazone et nombre de ses affluents. Mais jamais je n'ai rencontre un endroit aussi enchanteur et envoutant que celui ou vit mon ami Wilder sur le rio Tahuayo.
Son terrain est sillonne de nombreux petits ruisseaux aux eaux cristallines qui deviennent grands lorsque vient la saison des pluies.
Ici j'ai vu des raies motoros danser sur des lits de sable blanc.
Ici j'ai vu de jeunes tucunares (cichla ocellaris) chasser dans le courant.
Ici j'ai vu des crenicichlas sp. veiller sur leur progeniture au milieu de bancs de tetras de differentes especes, de nannostomus sp., de carnegiella strigatas, de corydoras ou d'apistogrammas agassizi verts emeraude.
Ici j'ai vu des poissons feuilles (monocirrhus polyacanthus) s'approcher nochalamment pendant que nous prenions notre bain dans le cours de la riviere.
La routine s'installant je decidais de renoncer a mon role d'administrateur du Selva Viva pour me consacrer a un projet qui me tient a coeur et qui m'a amene jusqu'ici.
Sur son terrain mon ami Wilder possede un endroit ideal pour realiser des bassins semi artificiels afin d'elever des poissons ornementaux sans avoir besoin d'aller les prelever dans le milieu naturel sinon pour les premiers geniteurs.
Il s'agit d'un lieu encaisse d'environ 400 metres de long ou l'eau court en permanence et qui reste a l'abri de la montee des eaux.
Jusqu'a present il s'agisssait surtout d'un site d'elevage ideal pour les moustiques ou quelques killies s'epanouissaient au milieu de ce marecage.
Le premier travail a consiste a creuser un canal de drainage afin d'assainir la situation.
Nous allons bientot passer a la seconde phase qui consiste a lever des digues pour creer quatre ou cinq bassins destines a accueillir les poissons.
Mon ami Wilder tient a consacrer l'un de ces bassins aux apistogrammas pandurinis que nous avons decouverts par hasard au cours d'une sortie en foret a deux jours de marche de l'endroit ou il vit.
Nous allons sans doute essayer de recreer un lit de riviere artificiel pour accueillir les corydoras "black peru" qui vivent dans les environs de chez Wilder mais leur mode de vie est plutot solitaire et il faut parcourir des kilometres pour en recueillir quelques-uns.
Rien n'est encore defini pour les autres especes qui peupleront les bassins.
Pour ma part j'aimerais bien pouvoir me baigner au milieu bancs de discus ou de scalaires sur un fond de sable blanc.
Mais certains d'entre vous ont peut-etre deja eu l'occasion de faire la connaissance de mon ami Wilder a travers les pages d'AQUAmag numero 28 de Septembre 2015.
J'eus le plaisir de voyager quelques jours en compagnie d'Alexandre et Maxime en Octobre 2014 qui ont partage leur experience dans la revue AQUAmag subcitee.
Mais je n'ai a ce jour pas eu connaissance de cet article.
Et c'est un peu l'objet de ce long preambule.
Si par hasard l'un d'entre vous possedait le numero d'AQUAmag en question et pouvait me scanner les pages de l'article sur la decouverte du Loreto et me l'envoyer, je lui serais eternellement reconnaissant (mon adresse mail perso par MP a ceux qui se manifesteraient)
Et maintenant il est l'heure d'aller dormir
A bientot je l'espere
P.S. Desole pour l'absence d'accents qui peut affecter quelques puristes mais ces sur ces p..... de b...... de m...... de clavier d'ici pas moyen de les trouver
Un amical salut a ceux qui me connaissent deja
Sinon un petit rappel pour les nouveaux a qui je souhaite la bienvenue
A une epoque assez reculee je fus membre du cercle aquariophile jurassien.
Je me consacrais essentiellement a la realisation de bacs plantes et a la reproduction de differentes especes suivant l'humeur et les envies.
J'eus quelques succes avec les scalaires, les apistogrammas nijsseni, les celestichtys margaritatus, les nannostomus morthentaleri, les monocirrhus polyacanthus, sans parler des guppies ou des brachydanios rerios.
Durant quelques temps je fus en charge du rayon aquariophilie de Zoo Boutic a Montmorot.
Mais il devenait lassant d'essayer d'inculquer les bases d'une maintenance correcte a des beotiens qui se contentaient de venir chaque semaine racheter les poissons qui mouraient faute de soins corrects.
Lorsque se presenta l'occasion de faire un voyage en Amazonie, plus precisement au Bresil, sur le rio Negro, je n'hesitais pas un instant. C'est ainsi que j'ai attrape le virus.
Je n'eus de cesse de revenir decouvrir la magie de ce fleuve et de son univers en compagnie de notre regrette ami Thierry sans l'appui duquel je n'aurais sans doute pas pu venir une premiere fois au Perou.
A l'issue de mon troisieme voyage a Iquitos, je decidai d'y rester pour prendre en charge les destinees d'un bateau en bois dont le but etait d'emmener des passagers a la decouverte de l'Amazone et des gens qui peuplent ses berges.
C'est au cours de l'une des ces sorties que je fis la connaissance de mon ami Wilder avec qui nous eumes tout de suite des affinites lorsqu'il me conta qu'il lui arrivait de pecher des poissons ornementaux pour les exportateurs d'Iquitos.
Je consacrais presque trois ans a m'occuper du bateau et silloner l'Amazone et nombre de ses affluents. Mais jamais je n'ai rencontre un endroit aussi enchanteur et envoutant que celui ou vit mon ami Wilder sur le rio Tahuayo.
Son terrain est sillonne de nombreux petits ruisseaux aux eaux cristallines qui deviennent grands lorsque vient la saison des pluies.
Ici j'ai vu des raies motoros danser sur des lits de sable blanc.
Ici j'ai vu de jeunes tucunares (cichla ocellaris) chasser dans le courant.
Ici j'ai vu des crenicichlas sp. veiller sur leur progeniture au milieu de bancs de tetras de differentes especes, de nannostomus sp., de carnegiella strigatas, de corydoras ou d'apistogrammas agassizi verts emeraude.
Ici j'ai vu des poissons feuilles (monocirrhus polyacanthus) s'approcher nochalamment pendant que nous prenions notre bain dans le cours de la riviere.
La routine s'installant je decidais de renoncer a mon role d'administrateur du Selva Viva pour me consacrer a un projet qui me tient a coeur et qui m'a amene jusqu'ici.
Sur son terrain mon ami Wilder possede un endroit ideal pour realiser des bassins semi artificiels afin d'elever des poissons ornementaux sans avoir besoin d'aller les prelever dans le milieu naturel sinon pour les premiers geniteurs.
Il s'agit d'un lieu encaisse d'environ 400 metres de long ou l'eau court en permanence et qui reste a l'abri de la montee des eaux.
Jusqu'a present il s'agisssait surtout d'un site d'elevage ideal pour les moustiques ou quelques killies s'epanouissaient au milieu de ce marecage.
Le premier travail a consiste a creuser un canal de drainage afin d'assainir la situation.
Nous allons bientot passer a la seconde phase qui consiste a lever des digues pour creer quatre ou cinq bassins destines a accueillir les poissons.
Mon ami Wilder tient a consacrer l'un de ces bassins aux apistogrammas pandurinis que nous avons decouverts par hasard au cours d'une sortie en foret a deux jours de marche de l'endroit ou il vit.
Nous allons sans doute essayer de recreer un lit de riviere artificiel pour accueillir les corydoras "black peru" qui vivent dans les environs de chez Wilder mais leur mode de vie est plutot solitaire et il faut parcourir des kilometres pour en recueillir quelques-uns.
Rien n'est encore defini pour les autres especes qui peupleront les bassins.
Pour ma part j'aimerais bien pouvoir me baigner au milieu bancs de discus ou de scalaires sur un fond de sable blanc.
Mais certains d'entre vous ont peut-etre deja eu l'occasion de faire la connaissance de mon ami Wilder a travers les pages d'AQUAmag numero 28 de Septembre 2015.
J'eus le plaisir de voyager quelques jours en compagnie d'Alexandre et Maxime en Octobre 2014 qui ont partage leur experience dans la revue AQUAmag subcitee.
Mais je n'ai a ce jour pas eu connaissance de cet article.
Et c'est un peu l'objet de ce long preambule.
Si par hasard l'un d'entre vous possedait le numero d'AQUAmag en question et pouvait me scanner les pages de l'article sur la decouverte du Loreto et me l'envoyer, je lui serais eternellement reconnaissant (mon adresse mail perso par MP a ceux qui se manifesteraient)
Et maintenant il est l'heure d'aller dormir
A bientot je l'espere
P.S. Desole pour l'absence d'accents qui peut affecter quelques puristes mais ces sur ces p..... de b...... de m...... de clavier d'ici pas moyen de les trouver