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Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré

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Damien
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Le Prince du Burundi
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Le Prince du Burundi

Le Prince du Burundi
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Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré

Par Robert ALLGAYER
Vice-président de la FFA


Ça et là, des sonnettes d'alarme ont été tirés, parfois par des organismes officiels, très tôt par des scientifiques (Fryer: 1960; Fryer & lies : 1972) souvent très tard par les aquariophiles. Les grands lacs africains sont réellement en danger, non pas leur seule faune aquatique, mais bien l'ensemble de leur écosystème. Ce constat que l'on peut tirer aujourd'hui ne touche pas seulement les lacs, mais presque tous les animaux en Afrique. Seuls les insectes et les reptiles trouvent encore quelques sursis dans la mesure où subsistent leurs biotopes et où les croyances culturelles (tabous) les protègent.

Lorsque l'on circule sur les pistes africaines entre le Zaïre, Burundi, et la Tanzanie, il est surprenant et frustrant de ne rencontrer aucun animal sauvage. Ces animaux sont aujourd'hui remplacés par les chèvres naines et les zébus. Les indigènes le reconnaissent eux-mêmes, toute capture d'un animal sauvage comestible est une aubaine, qui, dans les conditions économiques actuelles de ces pays, leur permet de survivre… un peu mieux pendant une courte période. Ils se risquent rarement dans les réserves, car les gardes ou Rangers tirent à vu sur les braconniers, mais parfois la faim est telle et les moyens si limités que l'on décroche les arcs et les lances pour, la nuit, trouver un peu de viande fraîche destinée à nourrir la famille.

Nous sommes là loin du vil braconnage pour l'ivoire et les mains de gorille (cendriers). Sur les bords des grands lacs africains la situation n'est pas plus florissante qu'à l'intérieur des terres, à l'exception de la présence assurée de l'eau et pour quelque temps encore du poisson. Mais là aussi, les situations se dégradent très rapidement. Nous avons largement relaté les problèmes du lac Tanganyika sur le site de la FFA lors de notre séjour au Burundi.

Le Lac Victoria

De multiples articles alarmistes, à partir des années 1980-82 ont mis l'accent sur l'introduction de la perche du Nil (Lates (Lates) niloticus) dans le lac. Il faut rappeler que la perche du Nil a été introduite dans le Lac en 1960 peut-être même avant (?) (en 1956 dans le lac Kioga) et que pendant deux décennies personne n'avait dénoncé le problème. Cette introduction, pour le moins intempestive, c'est faite sans étude ethnographique et/ou halieutique, dans le seul but d'un apport de protéines aux peuplades riveraines, mais aussi pour avoir des poissons combatifs pour la pêche sportive de quelques Lords désœuvrés. Ce n'étaient certainement pas ces populations qui en avaient le plus besoin, tant s'en faut. Oreochromis niloticus qui avait déjà été introduit dans le lac y contribuait pour une grande part avec les deux autres espèces de tilapies endémiques du lac (Oreochromis esculentus et O. variabilis). Pour des raisons gustatives et de conservation, les Tilapias sont encore actuellement les plus appréciés par la population locale. Un Tilapia adulte de plus de 30 cm coupé en deux dans le sens de la longueur est la masse maximum qu'il est possible de fumer ou boucaner dans des conditions acceptables de conservation ultérieure, nonobstant de l'énergie nécessaire en bois de chauffe rare près des rives du lac.
Après son introduction, la population de Lates a tout d'abord traversé une période d'adaptation et de colonisation, période relativement longue d'environ 15 années, temps pendant lequel l'espèce était assez discrète. Puis est venue la phase compétitive, période estimée vers 1978-1980, pendant laquelle la population de Lates était la plus forte aussi bien en taille individuelle qu'en quantité pêchée. Le record officiel pour l'espèce est de 1,80 m pour 164 kg (Kin-loch: 1956). Les pêcheurs utilisaient des filets à mailles de 5 sur 5 cm, dans lesquels des Lates de 30 à 50 kg étaient couramment capturés. Les pêcheries tournaient à plein rendement pour alimenter des villes comme Nairobi. C'est à ce moment que la communauté scientifique et en partie les aquariophiles se sont émus du danger potentiel que représente le Lates, mais non prouvé, car fondé sur aucune étude scientifique.

On pouvait supposer que le Lates occupait telle ou telle niche écologique au détriment de telles ou telles espèces. J'ai publié un article (Allgayer: 1984) sur le lac Victoria où je ne mentionnai le Lates que comme prédateur, un de plus à côté de beaucoup d'autres (Hydrocynus, Bagres, clariidés). Rien ne permettait à l'époque, ni aujourd'hui d'ailleurs, de constater, ou de prévoir les conséquences de l'introduction du Lates sur les populations d'haplochrominiens du lac. Avec une certaine réserve, l'on peut supposer que les haplochrominiens pélagiques et benthiques ont disparu, en tout une trentaine d’espèces. Le Lates ne met pas en danger les cichlidés inféodés au littoral qui représentent la quasi-totalité des haplochrominiens du lac. D'autre part, il serait difficile de faire l'inventaire des espèces restantes de cichlidés, car l'investigation faunistique totale du lac n'a jamais été menée à terme (faute de moyens et d'hommes). Le nombre d'espèces se situe toujours encore dans une fourchette d'estimation allant de 200 à 300 espèces suivant les auteurs. Comme le lac a été repeuplé il y a environ 22 500 ans par une faune nilotique (un ancêtre de Haplochromis wingatii), la faune haplochrominienne est encore très instable, une foule de pseudo-espèces du a des introgressions continuelles rend la systématique des espèces encore très instable.

En 1991, lors de mon séjour sur le bord sud du lac entre Buchenzi et Buzizi (Tanzanie), dans un village de pêcheurs, les discussions allaient bon train. Des pêcheurs zaïrois avaient d'ailleurs émigré sur le lac et pêchaient des cyprinidés pélagiques, Rastineobola argentea (ex: Eugraulicypris) au lamparo sur catamaran (deux barques artisanales reliées par des poutres), cette méthode de pêche grecque est similaire à celle pratiquée sur le lac Tanganyika pour la capture des Ndagalas.
Les seules constatations qui peuvent être faites, en corrélation avec les explications et l'expérience quotidienne des pêcheurs sont : -une très nette régression des tilapies ayant une taille commerciale c'est à dire de plus de 15 cm de longueur totale. C'est actuellement le poisson le plus cher (rare) sur les rives du Victoria. Par contre, les gamins qui pêchent à la ligne chaque après-midi en attrapent régulièrement, mais d'une taille toujours inférieure à 8-10 cm. Il en est de même en tirant un filet de long de la rive. Il semble que les tilapies deviennent les proies des Lates à partir du stade subadultes lorsqu'ils s'aventurent en pleine eau. Il serait faux de croire que les Lates ne consomment que des cichlidés. Ils s'attaquent aux crevettes du lac, aux larves d'insectes lorsqu’ils sont juvéniles, et sont essentiellement piscivores à partir d'une taille de 20 cm, mais consomment toutes espèces de poissons, même les Synodontis (Hamblyn : 1966) ; ces derniers sont très dangereux pour le prédateur, ils disposent d'épines dorsale et pectorales très pointues, parfois avec une glande à venin.

La pêche aux Lates s'effectue actuellement avec des filets à mailles plus réduites, de 2 sur 2 cm. Elle débute très tôt le matin et se pratique en pleine eau à plus de 1000 mètres de la rive. Les pêcheurs sont de retour vers 10-11 heures du matin. Les grosses prises de plus de 10 kg sont devenues extrêmement rares. La barque est souvent remplie de 300 à 500 kg de Lates ayant moins de 1 kg, parmi eux, quelques spécimens entre 1 et 3 kg qui sont mis de côté pour la vente à l'unité. Les seuls Lates de plus d'un mètre que nous avons vu étaient morts et flottaient à la surface de l'eau en pourrissant. Les Lates semblent actuellement régresser en taille et la fourchette (en masse pisciaire) de fréquence la plus forte se situe entre 20 et 40 cm. Lors des pêches aux Lates et malgré la taille des mailles du filet AUCUN haplochrominien, n'est capturé. Mais quelques Oreochromis s'y font prendre. Les pêcheurs se sont totalement désintéressés des petits haplochrominiens depuis plus d'une dizaine d'années, car peu rentables face à la pêche aux Lates.

Les très gros Lates n’intéressent pas les indigènes autour du lac, par leur taille cette masse de viande n’est pas conservable par les méthodes locales (séchage, boucanage).
D'après les pêcheurs, les petits cichildés riverains du Lac n'ont pas disparu et ne semblent pas être en régression. Ce sont surtout les gamins qui les pêchent à la ligne. C'est pour eux un passe-temps doublé d'une nécessité pour améliorer le repas du soir. Ils en attrapent ainsi une vingtaine dans l'après-midi, qu'ils enfilent à travers la bouche et les ouïes sur une tige herbeuse, ou les jettent sur la rive. J’ai également pêché à la ligne avec du matériel moderne (les enfants étaient équipés avec de la ficelle et un hameçon fait avec un clou) et avec des lombrics (?) de section carrée. Mon rendement était d’un haplo à la minute.

De formation récente, le lac n'a que 750 000 à 500 000 ans. Ses rives sont en pente douce, tout comme sa configuration sous-lacustre (79 mètres de profondeur max. pour une circonférence de 450 km environ), les rives rocheuses étant un peu plus abruptes. Le lac ne subit pas une charge ou une surcharge trop forte en alluvions due à l'érosion. Cependant, la masse de phytoplanctons et zooplanctons y est toujours élevée rendant la visibilité sous l'eau inférieure à 3 m dans le lac et inférieure à 1 m dans les golfes et bras latéraux. Le lac ne subit pas non plus de pollution industrielle (au sens européen). Celle principalement domestique est très minime, et ne concerne que des bourgs faiblement peuplés à l'exception au Nord-Ouest Kampala et Entebbe, Kisumu au Nord-est et Mwanza au Sud. Une pollution difficilement dégradable est visible aux abords de Mwanza (1,2 million d’habitants, ville assez famélique la nuit) comme des bouteilles en plastique, sacs en nylon, polystyrène expansé. Les engrais et pesticides sont absents ou rares, car non importés (déficit chronique de la balance commerciale des pays riverains).

Les analyses de l'eau effectuées (Tests Merck) relevaient 0 ppm pour les nitrites comme pour les nitrates. L'eau y est toujours aussi douce avec 100 à 140 µS/cm-1 et un pH de 7,0-7,3. Le Lac Victoria au second rang mondial pour sa superficie (68 000 km2), et le premier en Afrique, n'est certainement pas celui des grands lacs de l'Est africain qui serait le plus menacé. Les prélèvements de poissons pour l'aquariophilie y sont occasionnels. Aucun récolteur professionnel n'est actuellement établi sur le lac comme c'est le cas au Tanganyika ou au Malawi.

Mais le grand danger actuel est représenté par la jacinthe d’eau Eichhornia crassipes qui, selon la direction du vent, colonise telle ou telle côte du lac. L’épaisse couche de plantes crée une eutrophisation de l’eau en dessous, rendant de très grandes surfaces impropres à la vie. Des charançons sud-américains, un prédateur naturel, ont été introduits pour combattre et éliminer les jacinthes. Avec succès, les jacinthes diminuent à court terme, mais avec l’aide d’une autre espèce exogène qui pourrait elle aussi créer la surprise que l’homme ait encore commis une erreur à long terme. L’on nous a fait gober un film « Le cauchemar de Darwin » sur un trafic d’arme à Mwanza, avec, en prime, une interview de Greenwood, et les seules armes était un arc et des flèches (sic).

Le Lac Kivu

Ce lac à fjords a échappé à l'introduction de Boulengerochromis microlepis. Depuis plusieurs années l' I. R. S. (Institut de Recherches scientifiques) d'Uvira, sur les bords du lac Tanganyika avait été chargé par des « Instances supérieures »d'étudier les possibilités de l'introduction de l'espèce dans le lac Kivu ceci afin de satisfaire des personnalités zaïroises pour leur pêche sportive à Goma sur les rives du lac. L'absence de proies combatives était trop frustrante et Boulengerochromis devait y pallier. Nous saluons ici le courage des chercheurs zaïrois qui s'y sont toujours opposés jusqu'à aujourd'hui, aidés en cela par le manque chronique de moyens, bien connu dans ce pays. Par contre, un projet de barrage est à l'étude sur la Ruzizi, noyant la vallée montagneuse entre Bukavu et Bougarama (Rwanda), lieu de sa sortie en plaine. Ce barrage permettrait la régularisation du débit du fleuve, la production hydroélectrique, et serait un lien de passage frontalier supplémentaire entre le Zaïre et le Rwanda. Quelles seront les conséquences en contrebas de ce barrage ? La plaine de la Ruzizi et le Lac Tanganyika dans sa partie nord, dans laquelle se jette le fleuve, subiront certainement des modifications, bonnes ou mauvaises (?) ; il est difficile là également de faire des prévisions. Actuellement, ce barrage n’existe toujours pas.
La faune pisciaire du lac de 26 espèces de poisson, 15 haplochrominiens, 3 tilapies dons deux introduits (Oreochromis macrochir, et Tilapia rendalii, 2 Clarias, 4 Barbus et un Raiamas, 1 clupeidé Limnothrissa miodon introduit depuis le lac Tanganyika. C’est un lac d’altitude (1462 m) non « rentable » avec seulement 17 000 tonnes de capture par an pour une superficie de 2 055 km2. L’eau a un pH de 9,1 à 9,5, une conductivité de 1240 µS/cm-1, la température moyenne est de 23 à 24, 5 °C. (Snoeks : 1994).

Bibliographie

Allgayer, R.; 1984 Le Lac Victoria-Nyanza et ses Cichlidés, Rev. fr. Cichli. 37: 4-16.
Fryer, G.; 1960 Concerning the proposed introduction of Nile Perch into Lake Victoria, J. E. afr. agric. 25 : 267-270.
Fryer,G. & T. D. Iles; 1972 The Cichlid Fishes of the Great Lakes of Africa, Oliver & Boyd, Edinburgh, 1-641.

Hamblyn, E. L.; 1966 The food and freeding habits of Nile Perch, Lates niloticus (Linné) (Pisces: Centropomidae) Rev. Zool. Bot. afr. 74 : 1-28.
Kinloch, R. G.; 1956 Fishing in Uganda, Uganda Wildl. Sport. 1:13-21.
Snoeks, J. 1994 The haplochromines (Teleostei, Cichlidae) of Lake Kivu (East Africa) Musée royal de l’Afrique centrale Annales Sciences zoologiques Vol. 170 pp 221

Légendes photo toutes R. Allgayer

Victoria

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Victor12
Iles formées de roches mégalithiques caractéristiques dans le Sud du lac Victoria. Ici le « Bismarck » à l’entrée du port de Mwanza. Nom donné du temps de l’ancienne colonie allemande.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Victor11
Ile flottante constituée de plantes surtout de papyrus, et de consistance spongieuse, avec précaution, un homme peut marcher dessus. Mais la partie aquatique sous l’ile abrite des cichlidés spécialisés à ce type de biotope.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Lates_10
Lates niloticus de 500 g. taille adaptée pour la consommation des locaux.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Rastri10
Rastineobola argenteus, un cyprinidé qui est séché au soleil sur le sable chaud. Déshydratés, ils sont mis dans des sacs de jute et vendus sur les marchés. Odeur garantie.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Victor10
Résultats de pêche à la dandinette, petits Lates, grands Oreochromis et quelques clariidés.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Haploc11
Haplochromis sp. "Mwanza".

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Pundam10
Pundamilia nyererei « Python Island » très abondant dans le golfe de Mwanza.

Kivu

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Kivu_b11
Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Kivu_b12
Les côtes du lac Kivu sont très escarpées et sinueuses. La pêche se fait encore dans des pirogues creusées dans des troncs d’arbre.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Progna10 Prognathochromis vittatus un cichlidés endémique du lac dont il existe une forme OB (tachetée). La taille maximale est de 20 cm.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Haploc10 Haplochromis olivaceus, un petit haplochrominien du lac.

Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré Oreoch10
Oreochromis niloticus eduardianus, le seul tilapien du lac Kivu, les deux autres espèces ont été introduites.

Eric

Eric
Membre du club
Membre du club

Un article a lire et relire Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré 55564 Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré 1412 Robert et Merci pour cet article fort intéressant.

Martell


Membre Très intéressé du forum
Membre Très intéressé du forum

Merci
raison de plus pour apprécier les très beaux Haplos et leurs cousins Neutral

Damien

Damien
Modérateur
Modérateur

Merci pour cette présentation toujours enrichissante Deux lacs méconnus, l’un menacé, l’autre ignoré 55564

benoitj39

benoitj39
vice président du club.
vice président du club.

merci Robert!

thierry

thierry
Membre d'honneur
Membre d'honneur

Merci Robert pour ce témoignage, et ton article trés rigoureux.

Michel

Michel
Membre très actif du forum
Membre très actif du forum

Un plaisir de lire ce texte... + les photos.
Merci.

SEB3005

SEB3005
Membre timide du forum
Membre timide du forum

Lacs méconnus le titre est un peu fort

On les connait, du moins pour ceux qui font du Victo

Mais l'article est fort intéressant, surtout pour les néophytes Wink

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