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Bonsoir,
J'ai traduit l'article du site Haplochromis : http://www.haplochromis.org/forum
L'article : http://evolution.berkeley.edu/evolibrary/news/090301_cichlid speciation
Un article passionnant, qui répond a bien des questions....
Bonne lecture.
Comment une compréhension de physique fondamentale peut éclairer l'évolution de nos poissons qui continue aujourd’hui ? En particulier, comment l’influence de la physique claire joue son rôle dans la sélection sexuelle des cichlidés ? Surtout lors de l’effondrement de la diversité biologique avec la pollution provoquée par l’homme.
L'exploitation d'un prisme jusqu'à une fenêtre brillante démontre un principe d'optique fondamental, que l'irradiation claire et simple de notre soleil est composée en fait d'un arc-en-ciel de couleurs. Par l'air, ces couleurs de lumière voyage environ de la même façon, mais dans l'eau, les différentes couleurs voyagent différemment. Les molécules d'eau ont tendance à absorber la lumière rougeâtre, en quittant la lumière bleue pour voyager vers les profondeurs des grandes étendues d'eau.
Pour cela que les profondeurs des eaux océaniques semblent bleues. Cependant, tout change quand l'eau est assombrie par les particules. Représentez-vous juste un fleuve ou un lac donc l’eau est souillée de sédiments, ces particules sont particulièrement bonne lors de l'absorption de la lumière bleutée, l'opposé des molécules d'eau. Ainsi quand les rayons de soleil pénètre les eaux souillée, la lumière bleue est présente près de la surface, mais quelques mètres en dessous, la plupart de cette lumière est absorbée et c’est la lumière principalement rougeâtre qui apparais.
Où est l'évolution ?
La physique de la lumière affecte non seulement comment l'eau bleue joue un rôle sur l’homme, mais comment les animaux marin, les animaux des lacs et les fleuves sont capables de trouver la nourriture et trouver des partenaires de même espèces. L’impact sur leur évolution. La sélection naturelle préfère des caractéristiques qui jouent bien dans l'environnement local.
Beaucoup d'espèces de poisson, par exemple, ont élaboré la vision qui est spécifiquement accordée pour bien voir dans la lumière disponible de leur habitat. Mais même au-delà de la simple adaptation, la physique de la lumière peut mener à la spéciation.( La spéciation est, en biologie, le processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes apparaissent.) En fait, les biologistes ont démontré récemment que la lumière pénétrant à de différentes profondeurs du Lac Victoria semble avoir joué un rôle dans la promotion d'une radiation évolutionnaire massive. Plus de 500 espèces de cichlides aux couleurs magnifiques et variées ont évolué là juste en quelque centaines de milliers d'années.
Pour comprendre comment la physique de la lumière peut promouvoir la spéciation, représentez-vous un lac avec l'eau légèrement souillée. Près de la surface, la lumière bleue domine l'environnement visuel, mais dans les eaux plus profondes, le rouge domine.
Une population de poisson vit le long du rivage du lac, une pente ou l'eau s’accentue en profondeur. Quelque poisson passe plus de leur temps dans la lumière bleue et certains passent plus de leur temps dans les eaux coloré. Comme toutes les populations, les poissons ont la variation génétique.
C’est-à-dire les poissons individuels ont de différentes versions de gène l'un de l'autre et un peu de cette variation affecte la capacité des poissons de voir les différentes couleurs. Certains poissons ont des gènes qui leur permettent de mieux voir la lumière bleue, pendant que d'autres poissons ont un avantage dans les eaux sombre.
À cause de la pénétration différentielle de la lumière dans le lac, les poissons avec les versions de gène les sensibilisant à la lumière bleue ont un avantage dans les eaux peu profondes parce qu'ils peuvent mieux trouver la nourriture et repérer les prédateurs, alors que les poissons des eaux sombres ont un avantage dans les eaux plus profondes. Ainsi dans de différentes parties de l'habitat des poissons, de différents gènes de la sensibilité des couleurs sont préférés par la sélection naturelle. Sur de nombreuses générations, si le poisson ne bouge pas trop dans leur gamme, la sensibilité bleue évoluera pour être plus répandu parmi le poisson vivant près de la sensibilité de surface et le rouge deviendra plus répandu parmi le poisson vivant en profondeur.
Isolément, la sélection naturelle agissant sur la sensibilité claire peut provoquer quelque désaccord dans la population, mais quand la sélection sexuelle est également considérée, la divergence est amplifiée.
Pour voir comment, ajoutez un poisson mâle à l'équation. Ils ont un peu de variation dans la couleur. Certains mâles ont des gènes pour une coloration bleue, certains ont des gènes pour la coloration rouge. Cela importe parce que les femelles sont difficiles vis-à-vis des reproducteurs et ont tendance à choisir des mâles bien coloriés pour engendrer leur progéniture. Dans ce scénario, les mâles bleus vivant dans les eaux profondes auraient le problème en trouvant des congénères pour deux raisons :
Il y a peu de lumière bleue, donc ils semblent plus ennuyeux que les mâles rouges et les femelles vivant dans les eaux profondes qui ont tendance à être moins sensibles à la lumière bleue qu'ils ne le sont au rouge. D'autre part, les mâles rouges vivant dans les profondeurs seraient de meilleurs prétendants, puisque leur coloration tire le meilleur parti des couleurs sombre disponible et les femelles vivant à ces profondeurs ont tendance à porter des gènes qui les rendent extra-sensibles a ses couleurs.
Les poissons bleus des profondeurs font face à de longue périodes solitaires, alors que les poissons rouges habitant le même fond s’accouplent avec toutes les femelles. Et évidemment, l'opposé est valable près de la surface. Sur de nombreuses générations de sélection sexuelle agissant de cette manière, les deux parties de la population peuvent diverger.
Bien qu'ils cohabitent l'un et l'autre, les poissons évolueront pour une préférence d'accouplement avec d'autres poissons qui partagent leur coloration, la sensibilité de la lumière et l’habitat. Au fil des années, les deux sous-populations peuvent même cesser de s'accoupler entre eux et élaborer assez de différences à être considérées comme des espèces différentes.
Bien que le scénario décrit soit au-dessus un scénario hypothétique basé sur la théorie évolutionniste, les biologistes ont récemment découvert une forte évidence que ce processus s'est produit chez les cichlidés du Lac Victoria.
Ils ont observé, avec d'autres fais évidents, que beaucoup d'espèces voisines proche l’une de l’autre chez qui les habitants de surface ont tendance à être bleu et sensible a cette lumière, pendant que les poissons qui vive en profondeur ont tendance à être rouges et sensibles a la lumière de leur environnement.
Les biologistes sont particulièrement réjouis de cette découverte car elle peut représenter un mode inhabituel de spéciation. Celle qui est le plus facile à démontrer l'évidence de la spéciation allopathie (Formation de nouvelles espèces due à une barrière géographique qui divise une espèce existante en deux ou plusieurs populations plus petites, de sorte que les croisements entre les populations sont impossibles.) Spéciation qui se produit en partie par l'isolement géographique des espèces émergeant. Par contre, ces espèces de cichlidés peuvent avoir évolué sans n'importe quelle séparation physique.
Malheureusement, les cichlidés de Lac Victoria font face à un avenir incertain. En quelques années, beaucoup d'espèces de cichlidés ont disparu. De nombreux ayant été anéanti par les espèces importées, mais d'autres semblent être simplement disparu. Le déboisement, l'écoulement agricole et la pollution ont fait que l'eau du lac est devenue beaucoup plus sale avec une visibilité fortement réduite. Cela a rendu plus difficile pour le poisson à choisir ses congénères, des partenaires a partir de leur couleur et a provoqué quelques espèces qui comptent sur les signaux visuels des choix de partenaires (comme le poisson décrit au-dessus) pour se reproduire ayant pour résultat moins d'espèces distinctes de poisson de bonne souche et des poisson hybridés avec des couleurs plus ternes. La recherche récente sur la vision a influencé des milliers d’années d'évolutions des cichlidés. Une vision sur les processus qui contribuent à la diversité biologique fabuleuse de la Terre, mais qui démontre aussi comment la diversité peut facilement être éteinte.
L'année dernière, les chercheurs européens ont annoncé sur leurs études du Pundmilia nyererei, l’espèce chez laquelle les femelles préfèrent s'accoupler avec les mâles plus rouges. Ils ont constaté que les femelles des régions claires du lac étaient plus difficiles préférant fortement des mâles bien colorés, alors que les femelles des eaux souillées du lac, qui accepteraient mieux des mâles de couleur terne comme partenaire. Cela soutient l'idée que les eaux sales du lac peuvent affecter l'évolution de préférence des partenaires des femelles.
Quand les sédiments assombrissent les eaux du lac, les femelles évoluent pour être moins difficiles aux couleurs. Comme vous pourriez vous attendre, la coloration du mâle semble avoir évolué en concert avec la préférence de la femelle.
P. nyererei les mâles des eaux claires ont tendance à être plus rouges que les mâles des eaux souillées Ces résultats accentuent la menace des cichlidés du lac Victoria. Comme les eaux du lac deviennent de plus en plus sales avec la pollution et les sédiments, nous pouvons nous attendre à ce que cela forme l'évolution de préférence d'accouplement des femelle et si elles deviennent moins difficiles, cela peut signifier que les espèces autrefois distinctes commencent à disparaitre.
En fait, cela arrive déjà dans quelques régions. Où les eaux sont particulièrement sales, les femelles P. nyererei s’hybrident avec une espèce apparentée de près (Pundamilia pundamilia) dans lequel les mâles sont bleus.
J'ai traduit l'article du site Haplochromis : http://www.haplochromis.org/forum
L'article : http://evolution.berkeley.edu/evolibrary/news/090301_cichlid speciation
Un article passionnant, qui répond a bien des questions....
Bonne lecture.
L'exploitation d'un prisme jusqu'à une fenêtre brillante démontre un principe d'optique fondamental, que l'irradiation claire et simple de notre soleil est composée en fait d'un arc-en-ciel de couleurs. Par l'air, ces couleurs de lumière voyage environ de la même façon, mais dans l'eau, les différentes couleurs voyagent différemment. Les molécules d'eau ont tendance à absorber la lumière rougeâtre, en quittant la lumière bleue pour voyager vers les profondeurs des grandes étendues d'eau.
Pour cela que les profondeurs des eaux océaniques semblent bleues. Cependant, tout change quand l'eau est assombrie par les particules. Représentez-vous juste un fleuve ou un lac donc l’eau est souillée de sédiments, ces particules sont particulièrement bonne lors de l'absorption de la lumière bleutée, l'opposé des molécules d'eau. Ainsi quand les rayons de soleil pénètre les eaux souillée, la lumière bleue est présente près de la surface, mais quelques mètres en dessous, la plupart de cette lumière est absorbée et c’est la lumière principalement rougeâtre qui apparais.
Où est l'évolution ?
La physique de la lumière affecte non seulement comment l'eau bleue joue un rôle sur l’homme, mais comment les animaux marin, les animaux des lacs et les fleuves sont capables de trouver la nourriture et trouver des partenaires de même espèces. L’impact sur leur évolution. La sélection naturelle préfère des caractéristiques qui jouent bien dans l'environnement local.
Beaucoup d'espèces de poisson, par exemple, ont élaboré la vision qui est spécifiquement accordée pour bien voir dans la lumière disponible de leur habitat. Mais même au-delà de la simple adaptation, la physique de la lumière peut mener à la spéciation.( La spéciation est, en biologie, le processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes apparaissent.) En fait, les biologistes ont démontré récemment que la lumière pénétrant à de différentes profondeurs du Lac Victoria semble avoir joué un rôle dans la promotion d'une radiation évolutionnaire massive. Plus de 500 espèces de cichlides aux couleurs magnifiques et variées ont évolué là juste en quelque centaines de milliers d'années.
Pour comprendre comment la physique de la lumière peut promouvoir la spéciation, représentez-vous un lac avec l'eau légèrement souillée. Près de la surface, la lumière bleue domine l'environnement visuel, mais dans les eaux plus profondes, le rouge domine.
Une population de poisson vit le long du rivage du lac, une pente ou l'eau s’accentue en profondeur. Quelque poisson passe plus de leur temps dans la lumière bleue et certains passent plus de leur temps dans les eaux coloré. Comme toutes les populations, les poissons ont la variation génétique.
C’est-à-dire les poissons individuels ont de différentes versions de gène l'un de l'autre et un peu de cette variation affecte la capacité des poissons de voir les différentes couleurs. Certains poissons ont des gènes qui leur permettent de mieux voir la lumière bleue, pendant que d'autres poissons ont un avantage dans les eaux sombre.
À cause de la pénétration différentielle de la lumière dans le lac, les poissons avec les versions de gène les sensibilisant à la lumière bleue ont un avantage dans les eaux peu profondes parce qu'ils peuvent mieux trouver la nourriture et repérer les prédateurs, alors que les poissons des eaux sombres ont un avantage dans les eaux plus profondes. Ainsi dans de différentes parties de l'habitat des poissons, de différents gènes de la sensibilité des couleurs sont préférés par la sélection naturelle. Sur de nombreuses générations, si le poisson ne bouge pas trop dans leur gamme, la sensibilité bleue évoluera pour être plus répandu parmi le poisson vivant près de la sensibilité de surface et le rouge deviendra plus répandu parmi le poisson vivant en profondeur.
Pour voir comment, ajoutez un poisson mâle à l'équation. Ils ont un peu de variation dans la couleur. Certains mâles ont des gènes pour une coloration bleue, certains ont des gènes pour la coloration rouge. Cela importe parce que les femelles sont difficiles vis-à-vis des reproducteurs et ont tendance à choisir des mâles bien coloriés pour engendrer leur progéniture. Dans ce scénario, les mâles bleus vivant dans les eaux profondes auraient le problème en trouvant des congénères pour deux raisons :
Il y a peu de lumière bleue, donc ils semblent plus ennuyeux que les mâles rouges et les femelles vivant dans les eaux profondes qui ont tendance à être moins sensibles à la lumière bleue qu'ils ne le sont au rouge. D'autre part, les mâles rouges vivant dans les profondeurs seraient de meilleurs prétendants, puisque leur coloration tire le meilleur parti des couleurs sombre disponible et les femelles vivant à ces profondeurs ont tendance à porter des gènes qui les rendent extra-sensibles a ses couleurs.
Les poissons bleus des profondeurs font face à de longue périodes solitaires, alors que les poissons rouges habitant le même fond s’accouplent avec toutes les femelles. Et évidemment, l'opposé est valable près de la surface. Sur de nombreuses générations de sélection sexuelle agissant de cette manière, les deux parties de la population peuvent diverger.
Bien qu'ils cohabitent l'un et l'autre, les poissons évolueront pour une préférence d'accouplement avec d'autres poissons qui partagent leur coloration, la sensibilité de la lumière et l’habitat. Au fil des années, les deux sous-populations peuvent même cesser de s'accoupler entre eux et élaborer assez de différences à être considérées comme des espèces différentes.
Bien que le scénario décrit soit au-dessus un scénario hypothétique basé sur la théorie évolutionniste, les biologistes ont récemment découvert une forte évidence que ce processus s'est produit chez les cichlidés du Lac Victoria.
Ils ont observé, avec d'autres fais évidents, que beaucoup d'espèces voisines proche l’une de l’autre chez qui les habitants de surface ont tendance à être bleu et sensible a cette lumière, pendant que les poissons qui vive en profondeur ont tendance à être rouges et sensibles a la lumière de leur environnement.
Les biologistes sont particulièrement réjouis de cette découverte car elle peut représenter un mode inhabituel de spéciation. Celle qui est le plus facile à démontrer l'évidence de la spéciation allopathie (Formation de nouvelles espèces due à une barrière géographique qui divise une espèce existante en deux ou plusieurs populations plus petites, de sorte que les croisements entre les populations sont impossibles.) Spéciation qui se produit en partie par l'isolement géographique des espèces émergeant. Par contre, ces espèces de cichlidés peuvent avoir évolué sans n'importe quelle séparation physique.
Malheureusement, les cichlidés de Lac Victoria font face à un avenir incertain. En quelques années, beaucoup d'espèces de cichlidés ont disparu. De nombreux ayant été anéanti par les espèces importées, mais d'autres semblent être simplement disparu. Le déboisement, l'écoulement agricole et la pollution ont fait que l'eau du lac est devenue beaucoup plus sale avec une visibilité fortement réduite. Cela a rendu plus difficile pour le poisson à choisir ses congénères, des partenaires a partir de leur couleur et a provoqué quelques espèces qui comptent sur les signaux visuels des choix de partenaires (comme le poisson décrit au-dessus) pour se reproduire ayant pour résultat moins d'espèces distinctes de poisson de bonne souche et des poisson hybridés avec des couleurs plus ternes. La recherche récente sur la vision a influencé des milliers d’années d'évolutions des cichlidés. Une vision sur les processus qui contribuent à la diversité biologique fabuleuse de la Terre, mais qui démontre aussi comment la diversité peut facilement être éteinte.
Mise à jour des données, juillet de 2011
La recherche sur les cichlidés colorés du Lac Victoria continue! les scientifiques ont continué leurs travaux pour plus dé preuves qui pourrait appuyer leur hypothèse que la physique de la lumière claire dans le lac a contribué à la spéciation des cichlidés par le biais de l'action de la sélection sexuelle et ils l'ont trouvé. L'année dernière, les chercheurs européens ont annoncé sur leurs études du Pundmilia nyererei, l’espèce chez laquelle les femelles préfèrent s'accoupler avec les mâles plus rouges. Ils ont constaté que les femelles des régions claires du lac étaient plus difficiles préférant fortement des mâles bien colorés, alors que les femelles des eaux souillées du lac, qui accepteraient mieux des mâles de couleur terne comme partenaire. Cela soutient l'idée que les eaux sales du lac peuvent affecter l'évolution de préférence des partenaires des femelles.
Quand les sédiments assombrissent les eaux du lac, les femelles évoluent pour être moins difficiles aux couleurs. Comme vous pourriez vous attendre, la coloration du mâle semble avoir évolué en concert avec la préférence de la femelle.
P. nyererei les mâles des eaux claires ont tendance à être plus rouges que les mâles des eaux souillées Ces résultats accentuent la menace des cichlidés du lac Victoria. Comme les eaux du lac deviennent de plus en plus sales avec la pollution et les sédiments, nous pouvons nous attendre à ce que cela forme l'évolution de préférence d'accouplement des femelle et si elles deviennent moins difficiles, cela peut signifier que les espèces autrefois distinctes commencent à disparaitre.
En fait, cela arrive déjà dans quelques régions. Où les eaux sont particulièrement sales, les femelles P. nyererei s’hybrident avec une espèce apparentée de près (Pundamilia pundamilia) dans lequel les mâles sont bleus.
